J’écris chaque lettre comme si c’était la dernière,
Et toujours, je vous imagine la lire.
J’écris comme je pense,
Pour toi qui regarde, pour toi qui attend,
Mais toujours, j’écris en espérant vous voir souriante.
Je passe parfois de longues heures,
Méditant mes paroles, attardant mes pensés,
Mais c’est toujours l’âme pleine d’espoir
Que je m’efforce de couvrir ce papier.
Qu’un jour d’ailleurs vous lirez je l’espère,
Avec la même ardeur, et la même force,
Que j’ai su mettre entre ces mots
Là quand parfois, saignait mon cœur.
Une forte densité de pensée, qui nous mène de l’intériorité de l’être à l’extériorité du monde.
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